Pour un quartier Nord tourné vers le bien-vivre ! Au Nord de Deuil-la-Barre, autour du Lac Marchais, de la Côte et de Blancport, se dessine un quartier parmi les plus emblématiques de notre ville. Niché entre coteaux verdoyants et zones pavillonnaires, il incarne un idéal recherché par beaucoup. Pourtant, derrière cette apparente quiétude, les habitants partagent une aspiration commune : transformer ce quartier résidentiel en un véritable espace de vie, de rencontre et de respiration. Au-delà des nécessaires travaux de voirie ou d’entretien , le défi du quartier Nord réside dans la reconnexion entre les habitants, la nature et les services de proximité. Nous bénéficions de reliefs, jardins et espaces préservés, sublimés par le travail remarquable de l’association « Les Sentiers de la Côte » , qui s’engage avec passion, comme dernièrement avec la réhabilitation du sentier de la Porte Rouge. Pourquoi ne pas imaginer davantage de parcs accessibles, des promenades paysagères reliant davantage les sentiers du Lac Marchais à ceux de la Côte ? Pourquoi ne pas créer des “îlots de fraîcheur” avec bancs, arbres et jeux pour enfants, là où s’étendent aujourd’hui des zones minérales ? Cette ambition ne peut se concrétiser sans une vigilance accrue face aux projets de modification du PLU, qui menacent la préservation des zones naturelles. Ces espaces, garants de la biodiversité et du bien-être des habitants, doivent rester intouchés pour préserver l’âme verte du quartier. Le bien-vivre, c’est aussi le lien social. Le quartier manque encore de lieux de convivialité : une maison de quartier, une aire sportive, un café associatif ou un espace culturel partagé. Ces structures, légères mais essentielles, favorisent les rencontres, renforcent le sentiment d’appartenance et permettent à chacun de s’approprier son environnement. De même, des commerces de proximité, des services médicaux ou des points de rencontre intergénérationnels limiteraient les déplacements et dynamiseraient la vie locale. La fermeture du PN4 en 2027 offre une opportunité unique d’aménager un quartier alliant logements accessibles, espaces verts, équipements publics et mobilités douces, respectant l’identité du Nord. Cela exige une concertation immédiate avec les habitants pour équilibrer le développement et la qualité de vie. Le succès repose sur l’écoute active et des démarches participatives. Le quartier du Lac Marchais, de la Côte et de Blancport peut incarner un équilibre entre urbanité, nature, calme et vitalité. À nous de le construire avec audace et bienveillance. Jean-Marie Roy, Mehdi Legroune, Sylvain Brouard, conseillers municipaux d'opposition

Groupe "Libres à Deuil !" Elus de l'oppositi on pour l'écoute et le respect des Deuillois. Galathée 2026-2032 : pour un quartier vivant, vert et connecté Le quartier de la Galathée a connu depuis 2016 une importante rénovation dans le cadre de l’ANRU , avec une transformation visible mais encore inachevée. Si certains équipements ont vu le jour, le sentiment général reste celui d’un projet subi plus que construit avec les habitants. La place de la Nation, devenue emblématique, suscite toujours débat : coût élevé, absence d’utilité claire, manque d’espaces verts. Le choix d’un aménagement minéral a amplifié la sensation d’enfermement dans un quartier trop dense, trop bétonné, et toujours mal connecté au reste de la ville. Les difficultés perdurent : trafics de drogue, rodéos urbains, sentiment d’insécurité... Le centre social Odyssée , reste sous-utilisé et peu accessible aux autres quartiers. Le tissu commercial peine à se structurer. Et malgré la rénovation de l’espace Jesse Owens, rien n’est vraiment pensé pour les jeunes, plus particulièrement les « ados ». Seul bon point : le Pôle santé, utile mais difficile d’accès pour les habitants extérieurs. Le temps est venu de penser la Galathée autrement. Nos propositions pour 2026-2032 : Un quartier plus vert Créer des îlots de fraîcheur : bancs ombragés, végétalisation des façades. Désimperméabiliser les sols Ajouter des fontaines urbaines, brumisateurs, arbres en pleine terre. Un quartier plus sûr Créer un îlot de sécurité avec police de proximité et médiateurs de quartier. Installer des caméras dans les zones sensibles, avec respect des libertés. Soutenir les acteurs sociaux de terrain pour mieux accompagner les jeunes. Un quartier mieux connecté Lancer une navette municipale reliant les gares et les quartiers. Aménager pistes cyclables sécurisées Faire de la Galathée un noeud de mobilité locale. Un quartier tourné vers la jeunesse Créer une MJC avec studio, salle numérique, ateliers culturels. Mettre en place un budget participatif jeunesse. Développer les chantiers jeunes durant les vacances scolaires. Un quartier plus attractif Redynamiser le commerce avec aides ciblées et plan d’animation commerciale. Organiser un marché hebdomadaire. Transformer la place de la Nation en agora vivante : culture, événements, vie associative. Un quartier plus solidaire Rendre le centre Odyssée mobile, actif dans tous les quartiers. Créer un guichet de proximité pour démarches sociales, santé, logement. Faciliter l’accès au Pôle santé : signalétique, accompagnement, navette. La Galathée ne peut plus être un enjeu de campagne qu’on oublie ensuite. Elle peut devenir le coeur vivant de la ville, si on l’écoute, si on la relie, si on l’investit. Parce qu’un quartier négligé, c’est une ville qui se fragmente. Et qu’un quartier réinventé, c’est une ville qui avance pour tous. Jean-Marie Roy, Mehdi Legroune, Sylvain Brouard, conseillers municipaux d'opposition.

Chers Deuillois, Vous avez sans doute parcouru ce magazine hors-série, soigneusement conçu et financé par le budget communal, destiné à mettre en avant le bilan de l’équipe municipale. Plutôt que d’entrer dans une énième critique de cette présentation, nous préférons utiliser cet espace réduit pour aborder l’essentiel : la démocratie locale, ce socle de la vie républicaine que nous estimons affaibli au cours de ce mandat. Depuis juillet 2021, les retransmissions vidéo des conseils municipaux ont disparu . Cette pratique, pourtant utile pour garantir la transparence des débats, n’a pas été reconduite. Nous regrettons vivement cette décision, qui prive les habitants d’un accès direct et égal à l’information sur les orientations municipales. Les réunions de quartier, lorsqu’elles ont lieu , sont selon nous peu propices à un échange libre et direct avec les habitants. Les modalités retenues, comme l’usage de questions anonymes sur post-it, nous semblent limiter la spontanéité et la profondeur du dialogue. Nous pensons qu’il est possible de faire mieux pour encourager une vraie parole citoyenne. Autre point d’attention : la communication municipale repose très largement sur les réseaux sociaux, en particulier Facebook. Cela peut exclure une partie des Deuillois, notamment les personnes âgées ou éloignées du numérique, de l’accès à une information municipale régulière et directe. La communication est un art difficile mais il est temps de pouvoir grandement l’améliorer ! Par ailleurs, les élus de l’opposition ne sont que très rarement associés aux grandes décisions , ils ne sont là uniquement que pour acter et « contrôler » ce que la majorité décide… Leur présence dans les supports de communication municipaux est très marginale, voire inexistante sur les supports visuels. Ce choix éditorial peut donner l’impression d’une représentation incomplète de la diversité démocratique au sein du conseil. La majorité municipale, souvent sans expérience de l'opposition , a été régulièrement challengée durant ce mandat par les groupes d'opposition, qui l'ont poussée dans ses retranchements, l'obligeant à répondre et à faire avancer les sujets sensibles de notre commune. Nous plaidons pour un règlement intérieur plus équilibré, des réunions publiques régulières, où les habitants peuvent s’exprimer librement, dans un cadre respectueux et sans sélection préalable des sujets. En 2026, nous proposerons aux Deuillois un projet fondé sur ces principes : démocratie participative, transparence budgétaire, respect mutuel et co-construction des projets municipaux. Parce que pour nous, une ville vivante, c’est une ville qui écoute et qui associe. Jean-Marie Roy, Mehdi Legroune, Sylvain Brouard conseillers municipaux d'opposition.

Groupe "Libres à Deuil !" Élus de l'opposition pour l'écoute et le respect des Deuillois. Les Mortefontaines : un quartier qui mérite mieux. Un avenir à construire, ensemble. Le quartier des Mortefontaines, riche de son histoire, de sa diversité sociale et culturelle, mérite bien mieux qu’un simple statu quo. Il est temps de porter une vision audacieuse, humaine et durable pour son avenir. À l’heure où les défis climatiques, sociaux et urbains s’entrecroisent, nous devons refuser la résignation et porter des projets à la hauteur des attentes de ses habitants. Réintroduire la nature dans un quartier minéralisé Le quartier des Mortefontaines souffre aujourd’hui d’une urbanisation excessive et d’un manque flagrant de nature. Ce n’est pas une fatalité. Il est temps de désimperméabiliser les sols, d’y faire naître des espaces arborés, des parcours ombragés, des jardins partagés, et d’y insérer des zones de fraîcheur. Ces îlots de verdure ne sont pas de simples décorations : ils répondent à des enjeux vitaux de qualité de vie, de santé publique et de lien social. Un centre multiculturel innovant à la place de la patinoire La patinoire, aujourd’hui désaffectée, ne peut plus rester une friche au cœur du quartier. Il est temps de transformer cette inertie en ambition, en proposant un centre multiculturel et intergénérationnel. Imaginons un lieu vivant, ouvert, accessible à tous, où se croisent les arts, les cultures, le savoir et le bien-être. Un centre qui serait pensé en co-construction avec les habitants, les associations locales. A titre d’exemples : Un pôle artistique et musical, avec l’agrandissement de l’école de musique. • Des espaces de coworking associatifs et solidaires • Une médiathèque intergénérationnelle avec un espace numérique. • Un studio de création audiovisuelle et un Fablab (imprimantes 3D, découpeuses laser,ateliers numériques…) • Des salles polyvalentes modulables, pour accueillir des conférences, des expositions, des projections, des répétitions de théâtre, des cafés citoyens… • Un espace bien-être et santé, avec des ateliers réguliers de relaxation, de sports adaptés et de prévention animés par des professionnels. Redonner vie au marché des Mortefontaines Le marché est l’un des derniers lieux de mixité, de rencontres et d’échanges directs entre habitants. Pourtant, il reste trop souvent sous-exploité. Imaginons ensemble de : • Le dynamiser par des animations régulières : cours de cuisine en plein air, ateliers nutrition… • Développer les circuits courts, bio et locaux, en facilitant l’installation de producteurs de la région. • Mettre en place un espace de consommation sur place, avec des tables conviviales… Une vision cohérente et durable Face aux urgences climatiques et sociales, nous ne pouvons plus nous contenter d’aménagements à court terme ou d’actions symboliques. Nous croyons en un quartier des Mortefontaines qui respire, qui crée, qui rassemble ! Jean-Marie Roy, Mehdi Legroune, Sylvain Brouard conseillers municipaux d'opposition.

Faisons de la Côte de Deuil – La Barre une destination, pas un simple passage. L’abandon du projet BIP par le Département ouvre une opportunité historique : réinventer les terrains en friche des côtes de Deuil-La Barre pour en faire un atout majeur pour notre ville et ses habitants. Ces espaces, mobilisés pendant des décennies, doivent devenir des lieux de vie, de loisirs et de découverte, ouverts à tous. "Projets et visions des Sentiers de la Côte de Deuil, étaient déjà dans notre programme LAD de 2020" Notre programme municipal « Libres à Deuil » portait déjà cette ambition : transformer les sentiers des côtes en un réseau vivant, où pistes cyclables, chemins de randonnée et espaces de détente cohabitent harmonieusement, au service des cyclistes, randonneurs, joggeurs, promeneurs et familles. Mais aujourd’hui, le projet de pistes cyclables porté par la Communauté d’Agglomération Plaine Vallée risque de contourner Deuil-La Barre, reléguant notre commune à un simple lieu de transit vers la forêt de Montmorency ou d’autres destinations plus attractives. En tant qu’élus d’opposition, nous refusons que Deuil-La Barre devienne une ville dortoir ou de passage. Nous voulons faire des côtes un levier d’attractivité, un espace inspirant où l’on a envie de s’arrêter, de découvrir et de se ressourcer. Notre vision : des pistes cyclables et sentiers sécurisés, bordés de verdure, reliant notre commune aux villes voisines, mais aussi des haltes conviviales avec bancs ombragés, tables de pique-nique, fontaines d’eau potable et vues panoramiques sur le Bassin parisien. Imaginons des parcours sportifs, des aires de jeux modernes pour les enfants, des équipements pour les adultes, et une touche culturelle avec une galerie d’art en plein air valorisant les talents locaux et l’histoire de notre communauté. Des aménagements oui, mais pas que ... Respectons la nature et la biodiversité. Cependant, ce projet ne doit pas se limiter à des aménagements. La nature des côtes, sauvage et précieuse, doit être préservée. Nous ne pouvons pas façonner la nature à notre guise : elle est un patrimoine vivant à protéger. Les interventions humaines doivent respecter l’écosystème existant, en favorisant la biodiversité et en limitant l’artificialisation. Les côtes doivent rester un refuge pour la faune et la flore, tout en devenant un lieu de rencontre et de fierté pour les habitants, un point d’attraction pour les visiteurs. Un projet collectif en co-construction avec les associations locales et les Deuillois Pour concrétiser cette ambition, une volonté politique forte et une mobilisation collective sont nécessaires. Nous appelons la municipalité à s’emparer de cette vision et à travailler avec Plaine Vallée pour intégrer pleinement Deuil-La Barre dans le réseau cyclable et de randonnée, avec une ambition locale audacieuse. Ce projet doit être co-construit avec les associations locales, en particulier le collectif « Vivre Sans BIP » , dont l’engagement a permis de préserver notre environnement. Leur expertise et leur attachement au territoire seront essentiels pour bâtir un projet respectueux, durable et fédérateur. Nous avons les terrains, les idées et le potentiel. Ne laissons pas cette chance nous échapper. Ensemble, faisons des côtes de Deuil-La Barre une destination incontournable, un lieu où la nature sauvage s’épanouit, où l’on se ressource et où l’on se retrouve. Transformons notre ville en un modèle de dynamisme et de respect de l’environnement, pour aujourd’hui et pour demain. Jean Marie ROY - Sylvain BROUARD - Mehdi LEGROUNE élus d'opposition Groupe "Libres à Deuil"

Groupe "Libres à Deuil !" Élus de l'opposition pour l'écoute et le respect des Deuillois. Deuil la-Barre : une ville en quête de renouveau, un avenir à reconstruire Alors que la plupart des communes voisines ont déjà présenté leur budget primitif pour 2025, la municipalité de Deuil la-Barre semble naviguer à vue... Notre commune reste prisonnière d'une routine inquiétante, manquant d'inspiration et d'aspiration au changement. Le second semestre 2024 a été marqué par l'absence de décisions : un conseil municipal annulé en novembre, un autre en décembre réduit à un simple remaniement interne. Plutôt qu’un projet structurant, on a assisté à un jeu de chaises musicales, avec la création d’un neuvième poste d’adjoint au maire. Pendant ce temps, les dossiers s’accumulent, notamment en urbanisme, sans délégation spécifique pour y remédier. Résultat : de nombreux dossiers d'urbanisme restent en souffrance, les règles de sécurité ne sont pas respectées sur certains chantiers, des recours en justice sont engagés... Les habitants attendent des réponses qui ne viennent pas. Une fuite en avant budgétaire Après un budget 2024 difficile, marqué par un emprunt de 4 millions d’euros et une hausse de 5 % de la taxe foncière, l’horizon 2025 n’est pas plus rassurant. La municipalité prévoit un nouvel emprunt de 3,5 millions d’euros, sans garanties sur la capacité d’investissement de la ville. Le vote du budget doit avoir lieu avant le 15 avril… Malgré les assurances de Mme le maire lors du conseil municipal du 10 février, le spectre d'une nouvelle augmentation des impôts locaux plane. Nous serons fixés lors de la prochaine séance du 7 avril. Une majorité déconnectée des priorités locales Le dernier magazine municipal montre une fin de mandat poussive. En mal d’inspiration et tétanisée par la progression de l’opposition, la majorité semble se réfugier dans des discours creux, loin des réalités et des priorités des Deuillois. Pendant que l’on nous parle de "planète bleue" et de "transition écologique" et autres « slogans verts », les vraies urgences sont mises de côté : la sécurité, l’état des voiries, la propreté, l’urbanisme et le dialogue avec les habitants. Ces sujets essentiels au quotidien des Deuillois ne semblent plus figurer dans l'agenda de la municipalité. 2026 : le temps du renouveau Cette fin de mandat doit être l’occasion d’une véritable rupture. Nous, élus de l’opposition, portons l’ambition d’un nouveau souffle pour Deuil la-Barre : un projet construit avec pragmatisme et transparence. Ensemble, avec les Deuillois, nous redonnerons à notre ville l’ambition qu’elle mérite. Le renouveau passe par une gouvernance efficace, à l'écoute et ancrée dans les réalités du terrain. Nous sommes prêts à relever ce défi. Jean-Marie Roy, Mehdi Legroune, Sylvain Brouard conseillers municipaux d'opposition.

Groupe "Libres à Deuil !" Élus de l'opposition pour l'écoute et le respect des Deuillois. Synthèse critique de la réunion publique du 21 novembre 2024 sur la fermeture du passage à niveau Deuil-Montmagny Le 21 novembre 2024, une réunion publique a réuni élus, maîtres d’ouvrage (Département du Val d’Oise, SNCF) et habitants autour du projet de fermeture du passage à niveau de Deuil-Montmagny. Si cette session a permis de poser les bases du chantier, elle a aussi mis en lumière de nombreuses zones d’ombre, notamment sur le plan de circulation du côté de Deuil-La Barre, qui a laissé les Deuillois perplexes et frustrés. Plusieurs points ont été présentés par les maîtres d’ouvrage. Tout d’abord, l’avancement et l’organisation des travaux, avec une présentation des différentes phases du chantier, des réalisations attendues et des contraintes associées. Ensuite, les questions de circulation et de stationnement ont été abordées. Si des informations précises et claires ont été fournies pour Montmagny, celles concernant Deuil-La Barre se sont avérées insuffisantes. L’impact des futurs flux de circulation et les potentiels engorgements des rues secondaires, telles que les rues du Moutier, de la Fontaine du Gué ou encore Achille Viez, n’ont pas été traités de manière détaillée. Cette lacune a suscité de vives inquiétudes parmi les habitants. Enfin, les nuisances et les impacts liés au chantier ont été abordés, en particulier les vibrations affectant les habitations à proximité, les difficultés de stationnement, la circulation des engins de chantier, ainsi que l'avenir des commerces de proximité, qui semble ne pas être une priorité pour les décideurs… En conclusion, à l’inverse de Montmagny, les habitants de Deuil-La Barre sont laissés dans l'incertitude, faute de plans détaillés ou même de principes directeurs clairs. La mairie a mentionné une étude en cours confiée au cabinet privé ASPHALT, mais aucune donnée concrète n'était accessible lors de la réunion. Le projet, bien qu'attendu, avance dans une opacité préoccupante du côté de Deuil-La Barre. L’absence de plans concrets et de réponses précises renforce l’impression d’une gestion désorganisée et met en évidence un choix politique assumé : ne pas associer les riverains ni les élus de l’opposition à la réflexion. Cette décision regrettable creuse le fossé entre les décideurs et les habitants. Cette réunion, qui n’a été qu’une session d’information unilatérale, a manqué d’engagements clairs pour répondre aux questions fondamentales des riverains. Il est impératif que la mairie, la SNCF et le Département revoient leur communication et leur approche participative afin d’assurer un projet réellement conçu pour et avec les Deuillois. Alors que l’année 2024 touche à sa fin avec son lot d’incertitudes tant sur le plan international, national que local à Deuil - La Barre, l’équipe de Libres à Deuil et ses élus vous adressent leurs vœux les plus chaleureux de bonheur et de bonne santé pour cette nouvelle année 2025. Libres à Deuil ! Pour une ville inclusive qui vous ressemble et qui nous rassemble ! Jean-Marie Roy, Mehdi Legroune, Sylvain Brouard conseillers municipaux d'opposition.

Groupe "Libres à Deuil !" Elus de l'opposition pour l'écoute et le respect des Deuillois. Les funérailles du BIP enfin actées ? Nous avons accueilli avec enthousiasme la décision du Département de mettre un terme définitif au tronçon Est du BIP. Nous pouvons légitimement espérer que le tronçon Ouest suivra le même chemin. Cependant, il est fait mention de « repenser de nouveaux aménagements » par le Département. Lors du Conseil Municipal de septembre 2024, Mme le Maire est restée évasive quant à la nature de ces aménagements de substitution. Il sera donc primordial de rester vigilant pour éviter que notre ville ne soit engorgée par ces futurs changements. Et de clarifier ce que deviendra l'ancien tracé du BIP, afin qu'il se transforme en un projet respectueux de l'environnement et bénéfique pour tous. Mme le Maire s'est rapidement attribuée le mérite de cet abandon du BIP en distribuant des tracts sur papier glacé, aux frais des Deuillois. En réponse, le groupe "Ensemble pour Deuil-la-Barre" a publié ses propres tracts, dénonçant cette démarche. Nous pensons surtout qu'avant de s'attribuer tout le mérite, il est essentiel de rappeler que cet abandon est avant tout une victoire collective ! Le combat a été long et acharné, mené principalement par les associations regroupées au sein du collectif « Vivre sans BIP » et par l'association « Les Sentiers de la Côte ». Les élus ont également joué un rôle déterminant dans cette décision. Mentionnons notamment Vincent Gayrard, ainsi que Maxime Thory, Maire de Montmorency, qui ont oeuvré concrètement pour protéger le tronçon menacé. « Musée-Mirapolis » ?? De qui se moque-t-on ? Ces dernières années, nous constatons une inquiétante augmentation de la délinquance, des crimes et des agressions. Il est impératif que la sécurité soit placée au cœur de nos priorités, avec un budget renforcé et une meilleure coordination. Pourtant, à Deuil-la-Barre, on semble ignorer cette réalité, comme si l'insécurité croissante ne nous concernait pas. Au lieu de renforcer les effectifs de police et d'élargir les horaires du Pôle Sécurité pour répondre aux besoins des Deuillois, la majorité municipale a choisi d'inaugurer en grande pompe, en octobre dernier, "Muséopolis", un musée de la police, dans les locaux inutilisés du Pôle Sécurité. Où est la centaine d'agents promis lors de l’inauguration du Pôle Sécurité ? Alors que les Deuillois subissent la hausse de la taxe foncière, et qu’ils sont obligés de se rendre au commissariat d’Enghien pour porter plainte, quelles sont les dépenses réelles engagées dans ce projet, dont le nom évoque plus un parc d’attractions qu’une institution sérieuse ? Pour couronner le tout, cette inauguration "importante" a entraîné des mesures disproportionnées, comme l'interdiction de stationner sur la place du marché et les rues adjacentes, créant des difficultés pour les clients et un manque à gagner pour les commerçants. Jean-Marie Roy, Mehdi Legroune, Sylvain Brouard, conseillers municipaux d'opposition.